par Depuis plusieurs générations elfiques, il est du devoir des Elfes de prouver leur valeur au sein de cette race majestueuse. Personne ne fait exception à la règle...
D'Alexielle Otharn et Aeldar Aethiel, la première étant de la race des Hommes, le second étant un Elfe, mais tout deux fougueusement et secrètement amoureux, naquit Fareliah. L'amour chez les elfes n'est pas courant et n'est jamais exposé à la vue des autres, alors lorsqu'il s'agit d'une femme et d'un elfe...
"Allez faire ça ailleurs !" ; "Regardez les ces deux là..." ; "N'avez vous point honte pour votre descendance ?!"
C'est ce qu'entendaient Alexielle et Aeldar quotidiennement, bien qu'ils éssayaient de toujours se dissimuler et de ne déranger personne. La naissance de Fareliah fut presque aussi similaire que leur histoire d'amour : secrete, rejetée.
Fareliah vit une longue enfance totallement solitaire, elle fut difficilement accéptée parmis les autres, malgrés quelques exceptions, et préféra vivre dans la solitude.
Lorsque vint le Jour de l'Honneur, ce jour où il est donné à chaque jeune elfe de prouver son habileté et son courage. Ce jour est en réalité une initiation au combat, car même si les Elfes sont bien connus pour leur paix, ils se doivent tout de même de savoir se défendre en cas de guerre.
C'est donc pour cette raison que chacun reçoit une mission, un acte à accomplir. Et celui de Fareliah fut simple et concis : Défendre les peuples libres de la Terre du Milieu, jusqu'à ce que la paix soit rétabli.
C'était pour elle quelque chose de grand, de trés grand et de trés long, mais qui lui permetterait de recréer la réputation de son nom, de le faire entendre, et de le faire respecter.
Son départ était pour le lendemain matin, elle n'avait rien dit à personne comme à son habitude, et de toute façon, qui s'en soucierait... ?
Lorsqu'elle s'apprêta à faire son dernier pas dans le village, et son premier en dehors, elle entendit quelqu'un qui l'appellait...
_ Fareliah !
_ ...*tourna la tête doucement* Hmmm... ?
*Aeldar courra vers elle, l'air éssouflé*
_ puf, puf, puf, j'ai fait au plus vite pour te rattraper lorsque je ne t'ai trouvé nul part.. ... ... Tu pars aujourd'hui alors ?
_ Oui... rien ne me retient, ici.
_ Hmmm c'est un peu précipité, mais tu as raison. Ta mère a préféré rester à la maison, mais sache que tout son amour est tourné vers toi.
*Aeldar sorti un pendentif de sa poche*
_ Tiens. Je n'ai que cela à t'offrir, tu ne le trouveras nul part ailleurs. Prend en grand soin !
_ Qu'est-ce donc ?
_ C'est un bijoux arborant.... rien en fait. Ce bijoux ne représente rien aux yeux des autres, mais il représente tout mon amour pour toi, et au diable ce que les autres peuvent penser de nous. Souviens t'en, Fareliah, l'important et que tu sois heureuse, toi et toi seule.
_ Merci... ada. Je reviendrai, je te le promet...
_ Puisse la lumière des Eldars éclairer tes chemins, aussi sombres soient-ils...
Tout en fixant longuement Aeldar, Fareliah fit, lentement, plusieurs pas en arrière, lorsqu'elle se retourna subitement et se mit à courir à toute vitesse, sans regarder derrière elle. La tête baissée, une larme perlait sa joue droite...
D'Alexielle Otharn et Aeldar Aethiel, la première étant de la race des Hommes, le second étant un Elfe, mais tout deux fougueusement et secrètement amoureux, naquit Fareliah. L'amour chez les elfes n'est pas courant et n'est jamais exposé à la vue des autres, alors lorsqu'il s'agit d'une femme et d'un elfe...
"Allez faire ça ailleurs !" ; "Regardez les ces deux là..." ; "N'avez vous point honte pour votre descendance ?!"
C'est ce qu'entendaient Alexielle et Aeldar quotidiennement, bien qu'ils éssayaient de toujours se dissimuler et de ne déranger personne. La naissance de Fareliah fut presque aussi similaire que leur histoire d'amour : secrete, rejetée.
Fareliah vit une longue enfance totallement solitaire, elle fut difficilement accéptée parmis les autres, malgrés quelques exceptions, et préféra vivre dans la solitude.
Lorsque vint le Jour de l'Honneur, ce jour où il est donné à chaque jeune elfe de prouver son habileté et son courage. Ce jour est en réalité une initiation au combat, car même si les Elfes sont bien connus pour leur paix, ils se doivent tout de même de savoir se défendre en cas de guerre.
C'est donc pour cette raison que chacun reçoit une mission, un acte à accomplir. Et celui de Fareliah fut simple et concis : Défendre les peuples libres de la Terre du Milieu, jusqu'à ce que la paix soit rétabli.
C'était pour elle quelque chose de grand, de trés grand et de trés long, mais qui lui permetterait de recréer la réputation de son nom, de le faire entendre, et de le faire respecter.
Son départ était pour le lendemain matin, elle n'avait rien dit à personne comme à son habitude, et de toute façon, qui s'en soucierait... ?
Lorsqu'elle s'apprêta à faire son dernier pas dans le village, et son premier en dehors, elle entendit quelqu'un qui l'appellait...
_ Fareliah !
_ ...*tourna la tête doucement* Hmmm... ?
*Aeldar courra vers elle, l'air éssouflé*
_ puf, puf, puf, j'ai fait au plus vite pour te rattraper lorsque je ne t'ai trouvé nul part.. ... ... Tu pars aujourd'hui alors ?
_ Oui... rien ne me retient, ici.
_ Hmmm c'est un peu précipité, mais tu as raison. Ta mère a préféré rester à la maison, mais sache que tout son amour est tourné vers toi.
*Aeldar sorti un pendentif de sa poche*
_ Tiens. Je n'ai que cela à t'offrir, tu ne le trouveras nul part ailleurs. Prend en grand soin !
_ Qu'est-ce donc ?
_ C'est un bijoux arborant.... rien en fait. Ce bijoux ne représente rien aux yeux des autres, mais il représente tout mon amour pour toi, et au diable ce que les autres peuvent penser de nous. Souviens t'en, Fareliah, l'important et que tu sois heureuse, toi et toi seule.
_ Merci... ada. Je reviendrai, je te le promet...
_ Puisse la lumière des Eldars éclairer tes chemins, aussi sombres soient-ils...
Tout en fixant longuement Aeldar, Fareliah fit, lentement, plusieurs pas en arrière, lorsqu'elle se retourna subitement et se mit à courir à toute vitesse, sans regarder derrière elle. La tête baissée, une larme perlait sa joue droite...
(moi aussi je t'aime ma Isa) 
